"No Vacancy" est l'écho d'une nuit sans fin, d'un dernier hôtel vacant surgissant des ténèbres. L'enseigne clignote, une invitation vacillante dans l'obscurité désertique. Le propriétaire, édenté et énigmatique, se tient à l'entrée comme un gardien sinistre. Sa silhouette se découpe dans l'obscurité, et ses yeux vides semblent transmettre une histoire sans paroles. Une parcelle d'un thriller américain se joue sous l'enseigne vacillante.
Une seule question nous taraude, ressortirons-nous vivants de cet endroit ? 
Je suis arrivée aux Etas-Unis, dans la Sillicon Valley, chez un lointain cousin à Los Altos. J'y ai vécu 4 longues années et j'y suis revenue régulièrement. De San Francisco à la Vallée de la Mort, de la Silicon Valley à Santa Barbara, de Palo Alto à Mountain View je me suis immergée dans les États-Unis, capturant des fragments de ce pays vertigineux, au carrefour de petites histoires. "No Vacancy" représente une histoire au sein de l'histoire.
"No Vacancy" echoes an endless night, a last vacant hotel emerging from the darkness. The sign flickers, a wavering invitation in the deserted darkness. The owner, toothless and enigmatic, stands at the entrance like a sinister guardian. His silhouette cuts through the darkness, and his empty eyes seem to convey a wordless story. A snippet of an American thriller plays out beneath the flickering sign.
One question gnaws at us, will we emerge alive from this place?
I arrived in the United States, in Silicon Valley, at a distant cousin's house in Los Altos. I lived there for four long years and returned regularly. From San Francisco to Death Valley, from Silicon Valley to Santa Barbara, from Palo Alto to Mountain View, I immersed myself in the United States, capturing fragments of this dizzying country, at the crossroads of small stories. "No Vacancy" represents a story within the story.


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